« Ghetto » est le titre de la collaboration musicale entre Balla Moussa et Tams Kartel, dont le clip a été dévoilé ce 26 septembre sur Youtube .
À regarder ⬇️⬇️⬇️
Ghetto : le clip du feat entre Balla Moussa & Tams Kartel dévoilé.
Aly Baba pointe du doigt la gestion du BGDA. (GRANDE INTERVIEW)
Dans notre émission Grande Interview animée par Kékoura Kourouma , il a reçu comme invité l’artiste Aly Baba. Ensemble, ils ont évoqué plusieurs sujets, et un accent particulier à été fait sur la BGDA (Bureau Guinéenne des Droits d’Auteurs).
Au cours de cette interview Magassouba Aly Baba à l’état civil, exprime son mécontentement et dénonce ouvertement la façon dont le BGDA repartit le droit des artistes Guinéens et revendique son dû.
« Depuis ma sortie, je ne gagne que 600 000 GNF par an, avec un album déjà sur le marché et deux autres albums où je suis compositeur ».
Pour conclure, Aly Baba invite le gouvernement à aider ses frères artistes à faire de leur rêve une réalité.
Émission intégrale à regarder ici ⬇️⬇️⬇️
Décryptage faite par Alfa Barry
Dépotoir – Mamata : nouvelle signature musicale du groupe.
Le groupe Dépotoir formé par OFK & Kona Boss revient aux devants de la scène avec une nouveauté musicale intitulée « Mamata », dévoilée ce 25 septembre sur Youtube.
Description faite du single par le grouope. « Négativement influencée par le monde moderne, Mamata est cette jeune fille attachée à l’argent facile. Dans un style authentique et comique, nous l’appelons à l’abstinence sexuelle ».
A écouter
Daari (clip) : l’amour au cœur du feat entre Steeve One Locks & Apollo J
Le clip Daari dévoilé ce 25 septembre est une collaboration entre Steeve One Locks & Apollo J, qui a été réalisée à Paris (France). L’amour est au cœur de ce featuring entre ces 2 artistes Guinéens.
A regarder
Saifond Baldé – Ghari Djinna : le clip a enfin franchi la barre du million de vues sur Youtube.
Ajouté le 01 août sur Youtube, il a fallu presque 2 mois pour que le clip du tube « Ghari Djinna » de l’artiste Saifond Baldé atteigne le million de vues (25 septembre).
Saifond Baldé affole les chiffres actuellement, il fait partir des rares artistes Guinéens a atteindre plus de 100 K vues en moins de 24 H, donc ça été une petite surprise de voir le clip de son tube « Ghari Djinna » un peu trainé pour atteindre le million de vues.
Clip à voir ou revoir
Bah Maliah, Whatsapp : +224 666 571417, bah.maliah@gmail.com
Le clip « LNDN » de Mr Leblack est actuellement disponibe.
Après son featuring avec Soulby Thb dans dans “Présence Africaine”, le rappeur Mr Leblack enchaîne cette fois-ci en solo, avec la sortie d’un nouveau clip intitulé « LNDN ».
Clip disponible sur Youtube
Safa sollicite l’avis de ses fans pour des featurings de son prochain album
L’artiste Guinéen Safa Diallo qui réside actuellement en Suisse prépare un nouvel album. Et ce 24 septembre à travers un live Facebook, il a sollicité l’avis de ses fans sur des éventuelles collaborations, qu’il souhaite réaliser.
En Légende de son post, on pouvait lire ceci « salut la famille, pour mon prochain album, je souhaite avoir vos avis sur des featurings éventuels. Perso : je pense à #Binta_Laly, #Sékouba Bambino et Beenie Man… J’attends vos propositions… Merci ⬇️⬇️ ». Ses fans ont réagi en commentaires, en lui proposant d’autres noms d’artistes encore comme : Djanii Alfa, Takana, Tati Tati, Beenie Man…
Reste à savoir désormais, quels sont les artistes Guinéens et étrangers, qui vont figurer sur le prochain album de Safa Diallo et il est évident que l’artiste a plus d’affinités avec les Jamaïcains, car il a déjà travaillé avec plusieurs comme Busy Signal, Capleton…
Bah Maliah, Whatsapp : +224 666 571417, bah.maliah@gmail.com
Un Toit Pour Binta : un projet humanitaire en faveur de l’artiste Binta Laly Sow
#UnToitPourBinta : un projet humanitaire en faveur de l’artiste Binta Laly Sow
- Pourquoi ce projet humanitaire en faveur de Binta Laly Sow ?
Binta Laly Sow (BLS) est une artiste musicienne parmi les plus célèbres de Guinée. Elle chante la musique pastorale peule depuis l’âge de 14 ans et fait partie des pionniers qui ont fait entrer la musique traditionnelle guinéenne dans les studios d’enregistrement modernes.
Bien que sa discographie soit relativement modeste par rapport à sa carrière de plus de 50 ans (5 albums), le répertoire musical de Binta Laly Sow est inépuisable. Elle a réalisé quelques featurings, notamment avec la star sénégalaise Baaba Maal, mais elle a surtout inspiré et formé nombre d’artistes guinéens qui s’en sont généralement mieux sortis qu’elle professionnellement. La faute à un manque d’encadrement approprié.
Illettrée, mal conseillée et encadrée, Binta Laly Sow n’a pas su profiter matériellement de son formidable talent musical.
En dépit de sa très longue carrière et sa contribution inestimable au rayonnement de la musique traditionnelle guinéenne, cette vedette vit aujourd’hui dans le dénuement presque total : elle ne possède ni de maison propre, ni même des moyens de déplacement. A plus de 75 ans, elle chante encore dans les cabarets et lors des cérémonies de mariage pour vivre et faire vivre un entourage nombreux qui profite de sa générosité sans limites.
Même si Binta Laly envisageait de prendre sa retraite pour se reposer, elle ne le pourrait pas faute de ressources nécessaires pour assurer sa subsistance et celle de ses proches (essentiellement de jeunes filles/ femmes « données » ou « confiées », elle-même n’ayant pas d’enfants biologiques).
Elle a encore sa santé pour se déplacer et chanter — Dieu Soit Loué — , mais si rien n’est fait, Binta Laly Sow court le risque de finir ses jours dans la misère comme nombre d’artistes guinéens qui ont contribué à la culture de notre pays.
Sensibles à cette situation déplorable et pour lui éviter une telle issue, Alimou Sow et Abdoulaye Sadio Diallo ont décidé de lancer un projet humanitaire en faveur de Binta Laly Sow afin de l’aider à trouver un toit et une source de revenus durables pour vivre dignement. (Voir le profil des initiateurs plus bas, en fin d’article).
- En quoi consiste ce projet en faveur de Binta Laly ?
Le projet consiste à créer une source de revenus durables pour Binta Laly Sow afin de lui permettre de prendre éventuellement sa retraite et de vivre dignement.
Depuis longtemps des proches de l’artiste lui demandent avec insistance d’arrêter de chanter et de prendre sa retraite ; elle-même le voudrait après avoir tant donné. Le problème est qu’on ne lui offre aucune alternative pour gagner sa vie. Or, le seul métier qu’elle connaît c’est faire de la musique ; elle a donc du mal à délaisser son gagne-pain.
C’est pour cette raison que ce projet a pour ambition de trouver une source de revenus durables permettant à l’artiste de satisfaire ses besoins essentiels de se loger, se nourrir, s’habiller et se soigner sans qu’elle ne soit obligée de chanter ou de tendre la main pour vivre.
Pour minimiser les risques de l’investissement et faciliter la gestion, il a été décidé de créer un projet immobilier. Il consiste à acquérir une parcelle de terre en banlieue de Conakry pour construire un bâtiment à loyer de 70 mètres carrés. Ainsi, les frais du loyer lui seront reversés sur une période régulière. En fonction du montant des contributions au projet, une annexe au bâtiment principale pourrait être construite à l’usage de la bénéficiaire en séjour à Conakry.
- Quel est le coût du projet ?
Le coût de réalisation du projet inclut les charges de mobilisation des fonds d’investissement, de l’achat du domaine, de la construction, de l’assurance risques du bâtiment, etc. Une évaluation de l’ensemble des coûts donne le montant indicatif de 350 millions de francs guinéens (GNF), soit environ 30 873 euros. C’est un montant minimal.
- Quelle est la stratégie de mobilisation des fonds ?
Pour concrétiser ce projet, la méthodologie adoptée est d’utiliser principalement le talent de l’artiste pour mobiliser le capital nécessaire à investir.
Concrètement, il s’agit d’accompagner l’artiste Binta Laly Sow pour composer un mini-album spécial de cinq titres (dont trois nouveaux et deux remixés), qui sera vendu à un « prix humanitaire » dans la ligne du projet. Un concert dédicace ou un dîner-gala seront organisés avec l’artiste pour vendre l’album et remercier les contributeurs/ contributrices.
- Quelles sont les charges de mobilisation des fonds à investir et comment les mobiliser ?
L’enregistrement de l’album implique des charges (enregistrement en studio, honoraires d’artistes, etc.). Selon les spécialistes du domaine, un titre réalisé à Conakry coûte entre 1 500 000 et 2 000 000 GNF. Les 5 titres font donc 10 000 000 GNF à raison de 2 000 000 par titre, montant arrondi à 15 000 000 GNF en prenant en compte les frais de séjour de l’artiste à Conakry qui vit en ce moment en province (Télimélé).
Pour mobiliser ce montant de 15 millions, l’un des porteurs du projet, le blogueur Alimou Sow consent à passer par son livre « Ma Guinée Plurielle, chroniques d’une Guinée ineffable à partir d’un blog » (Éditions L’Harmattan Guinée, 2017).
En effet, l’auteur peut acquérir son livre vendu au prix normal de 260 000 GNF à moitié prix auprès de son éditeur. La méthode consiste donc à acheter le livre à 130 000 GNF et à le revendre au prix normal de 260 000 auprès d’un public sensibilisé sur le projet humanitaire. Ainsi, les 130 000 GNF recueillis serviront à financer le coût d’enregistrement des 5 titres du mini-album. Sur cette base, il faut donc vendre 115 livres au prix normal de 260 000 GNF.
- Comment pouvez-vous contribuer à ce projet ?
Il existe plusieurs moyens pour apporter sa contribution à ce projet humanitaire participatif.
Pour acheter le livre (ce qui est indispensable pour nous permettre de démarrer le projet), un formulaire d’inscription est créé ici. En achetant le livre à 260 000 GNF, vous versez directement 130 000 GNF à Binta Laly Sow pour lui offrir un toit et un revenu pour vivre dignement. Il suffit donc de vous inscrire en mettant vos coordonnées et le nombre de livres que vous voulez acheter car vous pouvez également en offrir. Notre objectif est de vendre 115 livres.
Pour verser le prix du livre, vous pouvez le faire sur ces deux numéros :
- Orange Money : 623 56 33 51
- Mobile Money : 662 93 33 79
Pour acheter l’album, un autre formulaire est créé là. Comme pour l’achat du livre, il suffit de le renseigner et d’indiquer le nombre d’albums que vous désirez acheter. Un prix humanitaire est fixé à 1 000 000 GNF par CD (100 euros, environ).
Acheter l’album à ce prix donne droit de participer au concert dédicace dans la limite du nombre de places disponibles. Il faut noter qu’à ce stade, l’album n’est pas disponible et le concert n’est pas programmé. Toutes les actions du projet feront l’objet d’une large communication sur les réseaux sociaux et dans les médias. Suivre notamment le mot-clé #UnToitPourBinta.
Pour acheter l’album, il est possible de verser l’argent sur les mêmes numéros indiqués précédemment, à savoir :
- Orange Money : 623 56 33 51
- Mobile Money : 662 93 33 79
- Existe-t-il d’autres moyens pour contribuer et d’autres types de contributions ?
Puisque ce projet est entièrement humanitaire, il est non seulement possible de participer au projet en recevant un livre ou un CD de l’album en retour (ou les deux), mais il est également possible de contribuer librement soit en argent, quel que soit le montant, en nature ou en industrie.
Ainsi, les services de transfert d’argent ci-dessous sont disponibles et opérationnels pour les contributions en dons (y compris l’achat du livre ou de l’album sur inscription) avec comme destinataire du transfert : ABOUBACAR DIALLO, domicilié à Conakry.
Il est également possible de contribuer en nature ou en industrie dans le cadre du projet immobilier : don de matériaux de construction, terrain nu ou viabilisé, bâtiment construit, offre de plan architectural, conseils en ingénierie, etc. Nous sommes ouverts à toutes les bonnes idées et actions. Pour cela, prière de contacter directement les initiateurs du projet : Alimou Sow ou Abdoulaye Sadio Diallo.
Enfin, une cagnotte Leetchi sera bientôt disponible pour toute personne qui désire contribuer en dehors des moyens mentionnés précédemment.
- Qui sont les initiateurs et porteurs du projet ?
Ce projet est initié conjointement par Alimou Sow et Abdoulaye Sadjo Diallo. Ils y réfléchissent depuis plus d’une année en étroite concertation avec la personne concernée, Binta Laly Sow.
- Alimou Sowest communicant professionnel et blogueur depuis 10 ans (http://lims.mondoblog.org), lauréat du prix du meilleur blog francophone 2013 de la Deutsche Welle, formateur en blogging et Community management. Il s’essaie également à l’écriture avec un recueil de chroniques (Ma Guinée Plurielle, L’Harmattan Guinée, 2017), lauréat 2018 du premier Prix littéraire Williams Sassine et co-auteur de deux livres collectifs.
Alimou Sow est neveu (indirect) de Binta Laly Sow qu’il connait et côtoie depuis plusieurs dizaines d’années. Il a initié et conduit plusieurs projets humanitaires ou communautaires comme la construction et l’équipement d’une salle de classe dans le village de Yéguélin (sous-préfecture de Yembéring), à Mali, au nord de la Guinée. Il a également lancé d’autres appels contributifs notamment en faveur d’une jeune fille mécanicienne, Solange Bamba.
Blog : Ma Guinée Plurielle
Facebook : Alimou Sow
Twitter : @witterlims
Mail: sowalimou@gmail.com
- Abdoulaye Sadio Diallo : est journaliste reporter d’images travaillant pour la chaîne de télévision privée Espace TV. Il a également travaillé pour plusieurs médias guinéens : Inquisiteur.net, plus224.com, Radio Espace Foutah. Diplômé en sociologie (développement communautaire), Abdoulaye Sadio est également slameur, passionné de littérature et de l’art oratoire. Il est à la fois un fan et un ami de l’artiste Binta Laly Sow.
Facebook : Abdoulaye Sadio Diallo
Twitter : @asadio14
Mail : ablayesadio92@gmail.com
Si le projet est initié par ces deux personnes, il est porté par plusieurs autres qui ont déjà contribué dans sa formulation ou ont fait des propositions pertinentes qui ont été prises en compte dans ce document. La liste est longue, mais ces personnes sauront se reconnaitre. Nos remerciements appuyés à toutes et à tous.
Djanii – Bismilahi (clip) : 101 k vues en 6 jours.
Le clip « Bismilahi » de Djanii Alfa dévoilé le 18 septembre sur Youtube est à 101 K vues en 6 jours (24 septembre).
Ce clip « Bismilahi » est l’intro du prochain album de Djanii Alfa « Chef Rebelle », une aventure musicale que le rappeur prépare hors du pays, car pour des raisons non connues, Djanii ne vit plus en Guinée.
Plus de 100 K vues en moins d’une semaine, ce sont plus des bons chiffres pour le rappeur Djanii Alfa sur Youtube.
Clip à voir ou revoir
Bah Maliah, Whatsapp : +224 666571417 , bah.maliah@gmail.com
Maxim BK feat Tati TaTi : l’info en plus cette collaboration à venir.
Même si les images du featuring ont commencé à fuiter maintenant, la collaboration entre Maxim BK & Tati Tati intitulée « Ko Mein Bandit » a été déjà réalisée à Conakry en version audio.
Après l’enregistrement de la version audio du titre « Ko Mein Bandit » à Conakry, le clip est en train d’être réalisé actuellement à Labé. La description donnée sur ce featuring est la suivante, « Ko Mein Bandit reflète une certaine réalité, le franchissement d’un cap genre du bandit à l’homme qui réussit sa vie ».
« Ko Mein Bandit » est un titre de Maxim BK dans lequel, il a invité Tati Tati et la production est assurée par Welden Prod & Empire Fouta…
Bah Maliah, Whatsapp : +224 666571417 , bah.maliah@gmail.com
EDITO : acteurs culturels guinéens, serrons la ceinture encore une fois!
Ce n’est un secret pour personne, l’un des malheurs de la culture guinéenne, est le manque d’union et d’unité d’action qui handicapent ce secteur. Et pourtant, les acteurs culturels guinéens gagneraient mieux dans l’union que dans la guerre des intérêts.
Depuis sept mois, suite à la crise sanitaire de la Covid-19, le secteur culturel guinéen est en syncope et pire, aucun plan d’urgence pour la relance des activités culturelles n’a été effectif pour un ouf de soulagement comme dans les autres pays.
Dans la nuit du mardi 22 septembre, un décret présidentiel annonce la reprise des activités dans plusieurs domaines dont celui de la culture. Et bimmm, tout le monde est content.
Une reprise attendue et saluée mais à quel prix?
Plusieurs opérateurs culturels guinéens se frottent la main après cette décision mais, je me demande combien parmi eux mesurent le poids des charges qui les attendent
Un spectacle en Guinée, démarre toujours le plus tôt que possible à partir de 19h. Et cet agenda est une application qui est installée chez chaque organisateur ainsi que chez les spectateurs.
Mais avec le couvre-feu de 00h à 4h qui étrangle les activités culturelles depuis sept mois, il est à se demander à quelle heure prendra fin un spectacle? Au regard des embouteillages créés par un grand rassemblement de personnes, à quelle heure les spectateurs rentreront chez eux?
En plus, il est difficile de nos jours en Guinée d’avoir un sponsor ou un mécène donc, il est rare que les organisateurs respectent le nombre de places réglementaires dans les espaces de production de spectacle. Bon, ceux qui existent avec le slogan « juste pour ne pas mourir ».
Il va s’en dire que dorénavant, avec le respect des mesures sanitaires dont la distanciation sociale, au lieu de 2000 places pour la salle de congrès du palais du peuple, le nombre de personne n’atteindra pas 1500 voire même 1000. Ce qui veut revient à affirmer que soit l’organisateur revoit à la hausse le prix du ticket, soit il se retrouve avec un trou financier causé par les pertes causées par le vide.
Sans vouloir remettre en cause le contenu du décret présidentiel, je trouve qu’il aurait été mieux que le Président de la République rencontre la Fédération des opérateurs culturels guinéens, comme il l’a fait avec celles des autres secteurs dont notamment les boulangers.
Oups! En parlant de fédération des acteurs culturels, parlons d’abord d’union.
Même si on ne s’aime pas, cela ne veut pas dire que nous ne devons pas faire front commun pour défendre l’intérêt de l’ensemble. Ah si seulement, et si seulement les opérateurs culturels guinéens pouvaient penser et agir ainsi pour le bonheur de tous.
Certains ont compris les enjeux et ils ont créées des associations afin de parler d’une seule voix. Et pendant ce temps, d’autres jouent à la souris du Ministère en charge de la culture pour torpiller son prochain.
Evoluer à rangs dispersés dans un combat, c’est comme tenir un gobelet percé à plusieurs niveaux sous un robinet et s’attendre à ce qu’il soit rempli.
A plusieurs reprises, des tentatives de fédérer les acteurs culturels guinéens ont échoué. Et la cause, l’histoire retiendra que le manque de leadership et de vision en sont pour une grande partie. Le reste, la guerre des intérêts et le clanisme gangrènent le milieu et n’épargne aucune génération.
Il est plus que temps de se fédérer afin d’être représentatifs dans les instances de prise de décisions. Sans quoi, gardons le gobelet troué à plusieurs niveaux et accusons l’autre d’être à la base de notre malheur.
Alpha Camara
QUEENEFF : «je rêve de faire un featuring avec Binta Laly Sow »
Ce mardi 22 septembre , Queeneff était notre invitée dans notre émission ” le Projecteur”, une période dans laquelle on a longuement échangé sur sa jeune carrière. Méconnue du public Guinéen, Queeneff de son vrai nom Barry Fatoumata Djouldé est une jeune artiste chanteuse, de nationalité guinéenne qui a fait ses débuts dans la musique en 2016.
Amoureuse de la guitare, Queeneff fait de la pop musique et a déjà un premier single intitulé «COPINA » disponible sur YouTube. Et dans ses chansons, elle chante l’amour et milite pour le droit des femmes, des enfants et lutte fermement contre la violence sous toutes ses formes.
Inspirée par la star Américaine Rihanna et la doyenne Binta Laly Sow (une icône vivante de la musique Guinéenne), Queeneff est une artiste aux grandes ambitions musicales. un de rêve dans ce domaine c’est de collaborer avec Binta laly, « je rêve de faire un featuring avec Binta Laly Sow »
Queeneff est une artiste qui évolue déjà dans un label appelé « FARAFINA SHOWBIZ », et elle est en train de préparer un album.
Titre « Copina » à écouter
Alfa Barry
Louny : « Si les autres portent leurs cou…les, c’est grâce à moi ».
Dans une interview accordée à notre rédaction ce lundi 21 septembre, le rappeur Guinéen LOUNY s’est confié sur son parcours scolaire, son amour pour le Rap et il n’a pas aussi manqué de lancer des piques à l’encontre des autres rappeurs du Game.
Lors de cet entretien, Louny a soulevé plusieurs points.
- Son parcours scolaire, « j’ai passé mon enfance en Guinée, où j’ai effectué mes études secondaires avant de rejoindre le Canada en 2000, pour poursuivre mes études supérieures. Et aujourd’hui, je dispose d’un diplôme en communication et relations publiques ».
- Son amour pour le rap, « j’ai eu un attachement charnel pour la musique, depuis mes 14ans, même si en ce moment l’esprit du Game n’était pas au top. Mais je n’ai jamais abandonné, car j’avais l’amour de la chose et il fallait se battre. Et c’est ainsi qu’en 2008, j’ai sorti mon premier son intitulé – Conakry c’est ma cité ».
- Son fonds d’aide en faveur de certains artistes Guinéens « en cette période difficile de COVID-19, pas de concert donc aucun revenu pour les artistes qui traversent une période très difficile, n’ayant aucune autre source de revenue à part les concerts se retrouvent dans une situation très délicate, Louny dans le but de venir en aide aux frères artistes dans le besoin, décide de mettre un fonds d’aide qui permettra aux artistes dans le besoin de pouvoir passe les fins du mois durant la période du COVID-19».
Avant de finir son entretien, LOUNY a taclé ses concurrents du milieu, « je suis audacieux et j’aime ceux qui le sont également. Mais aujourd’hui dans le rap Guinéen si beaucoup porte leurs co…les, c’est grâce à moi. Je suis le meilleur>>.Conclut-il.
Djeinabou Bah.
Singleton enchaine avec un autre clip « My Family »
L’artiste Singleton est en train de dévoiler des extraits de son album « Enfant des bas quartiers, sortie en octobre 2019 » en format vidéo. Le clip du titre « My Family » tourné en Europe a été aussi dévoilé sur Youtube.
A regarder